« Pour conclure, derrière chaque nom qui a participé à ce gigantesque massacre, il y a une histoire atroce. Et n'allez pas croire que ceux qui ont fait ça étaient des monstres faciles à reconnaître dans la rue, non, ceux qui l'ont fait étaient des hommes d'apparence normale, des époux aimants, de bons pères de famille, des gens qui vivent toujours parmi nous, sans remords ni regrets, et qui tiennent des discours justifiant leurs crimes. Certains de ces fils de pute parlent encore de « guerre sale »... »
J'ai
raté le premier « Mariani »,
publié aussi aux éditions de La
Dernière Goutte
sous le titre Calibre 45. Qu'à
cela ne tienne, Viande Sèche m'a
fait comprendre que je devais rattraper mon erreur : on tient là
un sacré personnage errant dans une Buenos
Aires
schizophrène, le tout porté par une plume posée, sobre, qui vous
fait tourner les pages en oubliant tout ce qui vous entoure.
Mariani
est détective privé. Fauché le plus clair de son temps, blasé, il
porte au-dessus de la tête un nuage lourd de mélancolie qui
n'attend qu'à ouvrir les vannes. Il partage son appartement avec
deux tantes. Il boit des hectolitres de café, de gin-coca et de
maté. Il connaît Buenos
Aires
comme sa poche, bas-fonds y compris. Rien ou presque ne l'étonne.
Il
va tomber sur un os lorsque le type qu'il a été embauché pour
retrouver, un vieux grincheux solitaire, s'avère être mort depuis
une petite trentaine d'années. Ça, ça va l'intriguer, le Mariani.
J'aime
et j'ai même une préférence pour les romans noirs qui sont tournés
vers l'histoire récente : une preuve que l'Histoire
ne pardonne jamais. Les anciens régimes totalitaires s'y prêtent
bien : il y a tous les ingrédients, à commencer par le besoin
de justice, voir de vengeance. C'est humain.
Mariani,
incrédule devant l'évidence, ne peut pas laisser tomber avant de
tout comprendre : son enquête le met lui-même en danger,
raison de plus !
Dans une ville tantôt animée, tantôt aux apparences
fantomatiques, le détective s'obstine à fureter, à remuer le passé
et ses secrets mortifères. A faire tomber les masques.
Viande
Sèche fait
partie de la série de romans La
Ballade du Británico,
ayant pour
personnage central le détective Mariani.
Je
souhaite longue vie aux éditions de La
Dernière
Goutte,
histoire de continuer à découvrir, grâce à elles, d'autres pans
méconnus de la littérature internationale – fût-elle noire ou
blanche.
Viande
Sèche,
Martin Malharro, traduction Delphine Valentin, Editions de La
Dernière Goutte 2016
J'ai 15 ans. Je suis née avec le VIH ma mère est décédée à cause de l'infection par le VIH Et je regrette pourquoi je n'ai jamais rencontré le Dr Itua, il aurait pu guérir ma mère pour moi parce qu'en tant que mère célibataire, c'était très difficile pour ma mère, je suis tombé sur les mots de guérison du Dr itua en ligne sur la façon dont il guérit différentes maladies dans différentes races maladies comme le VIH / sida Herpès, Parkison, asthme, autisme, Copd, épilepsie, zona, bouton de fièvre, infertilité, syndrome de fatigue chronique, guérison du lupus, fibromyalgie, sortilège d'amour, cancer de la prostate, poumon Cancer, glaucome, psoriasis, cirrhose du foie, cataractes, dégénérescence maculaire, maladie de Chrons, mononucléose infectieuse., Maladie cardiovasculaire, maladie pulmonaire. , Cancer du sang, Cancer colo-rectal, Épisode d'amour, Diarrhée chronique, Ataxie, Arthrite, Sclérose latérale amyotrophique, Accident vasculaire cérébral, Fibromyalgie, Toxicité à la fluoroquinolone ent, Hpv, rougeole, tétanos, coqueluche, tuberculose, polio et diphtérie) Diabète Hépatite même Cancer J'étais tellement excité mais effrayé en même temps parce que je n'ai pas rencontré un tel article en ligne, puis j'ai contacté le Dr Itua sur Mail drituaherbalcenter @ gmail.com/. Je discute également avec lui sur l'application +2348149277967 il me dit comment cela fonctionne puis je lui dis que je veux continuer Je l'ai payé si rapidement au bureau de poste du Colorado que je reçois ma phytothérapie dans les 4/5 jours ouvrables qu'il m'a donné des directives à suivre et me voici à nouveau en bonne santé, je peux imaginer comment Dieu utilise les hommes pour manifester ses œuvres.
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